Personne, peut-être, n'a laissé tomber les noms de peintres avec plus de conviction que Dan Treacy. Sur son deuxième album, en 1982, le serial name dropper s'attaque à Roy Lichtenstein, l'îcone du pop art. Le prétexte est mince : Dan Treacy a rencontré une fille qui ressemble selon lui, à The Sleeping Girl. Soit. Reste un morceau asthmatique, toujours au bord de l'apoplexie.
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