mercredi 9 janvier 2013

Polynésie


J'ai honte de le dire, mais ça ne fait pas si longtemps que ça que je connais Michaël Hurley. Oui, mais depuis je ne peux plus m'en passer. Presque cinquante ans qu'il fait des disques et qu'il dessine imperturbablement leurs pochettes. Les premiers, les derniers, tout est bon. Ses textes ont paru si bien que les excellentes éditions québécoises L'Oie de Cravan ont choisi de les publier (avec traduction) et ça vaut le coup.

Nick Tosches, définitif comme toujours : « Je ne sais que dire d'autre au sujet de ce qu'il chante et écrit sinon que c'est divinement génial. Quelle sorte de musique joue-t-il?? Diable, quelle sorte d'herbe le bon dieu fait-il pousser?? Je propose de simplement nous taire, d'écouter et d'aller rejoindre Michael Hurley. Après tout, nous pouvons toujours faire demi-tour et revenir. Pas lui »

Jusqu'en Polynésie (clin d’œil et dédicace à François P.) :




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