« Please, fall in love with me », tente-t-il...
Sait-on jamais, des fois que.
R. Steevie Moore — « Hey Rachel » —1984
La méthode a peu de chances de porter ses fruits sur la dite Rachel, mais elle fait fondre la cellule.
Comme la plupart des chansons de R. Steevie Moore d'ailleurs, qui en a enregistrées près de 2000 et pas loin de 400 albums depuis 1966. Des bijoux de mélodie d'une complexité pourtant accessible, quelque part au voisinage de John Lennon et Brian Wilson.
Sans rire.
Pionnier de la culture K7 et du DIY né à Nashville, Tennessee, il envoie encore aujourd'hui lui-même ses productions sur bandes magnétiques aux commanditaires qui s'égaient dans la nature.
Mais pourquoi sont-ils si peu nombreux et R. Steevie Moore si peu connu ?
C'est un mystère à éclaircir.
Ça n'empêche pas certains, comme Giacomo Nanni, de mettre en images leur amour pour cette magie.
R. Steevie Moore — « I don't think she knows » —1978
Et comme je n'arrive jamais à clôturer une écoute de R. Steevie Moore par une autre chanson que celle qui va suivre, je vous en fais profiter. Non mais !
R. Steevie Moore — « I never know » —1978
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