Thomas Mapfumo ne ménage pas les pédales d'effet quand il veut dédier une chanson à Emma. Nous sommes en 1983 et le plus grand nom de la musique zimbabwéenne est suffisamment reconnu pour enregistrer à New-York. Une curieuse froideur envahit les sonorités de sa chanson.
Thomas Mapfumo - Emma (1983)
PS : Emma, j'ai imaginé que c'était une femme, mais ma connaissance du shona est absolument nulle. Si ça se trouve, c'est un instrument aratoire ou le nom usuel des soucoupes volantes...
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