Le morceau se trouve sur son album de 1959, Pure Religion and Bad Company. Pour un instant, le prêcheur aveugle des rues de Harlem oublie la pure religion pour se rappeler la mauvaise compagnie qu'il fréquentait dans sa jeunesse. Du gospel au blues, le timbre ne change pas et Davis chante les paradis artificiels avec la même douceur intense qu'il déploie pour décrire les félicités de l'Empyrée chrétien. Grand classique, immense chef d’œuvre avec ses paroles cryptés !
Reverend Gary Davis - "Candy Man" (1959)