Nous ne prétendrons pas que tout soit absolument digeste sur l'album que Tzeni Vanou a commis en 1968 mais, comme chez d'autres grandes stars de la pop internationale, la production à haute valeur calorique de l'époque accompagne quelques réussites à ne pas dédaigner. Puisque décidemment, nous ne sommes pas au régime, nous vous en proposons trois aujourd'hui : un slow qui tue, la plus funk des chansons du hit parade grec de l'époque (du moins on imagine) et un morceau assez épatant démarqué de près des productions de Burt Bacharrach. Si vous êtes curieux et que vous savez lire le démotique, des informations vous attendent là (sur un blog dyslexique qu'on se promet d'explorer).
Tzeni Vanou
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire