Quand on cherche à obtenir des informations précises sur tel ou tel morceau de cumbia, il y a vite de quoi s'arracher les cheveux. Par exemple, pour un classique d'entre les classiques comme la "Cumbia Sampuesana", je n'ai pas été fichu de trouver vraiment autre chose que le nom de son compositeur : Joaquín Betín. Mais après : où? quand? qui? je ne vous en dirai pas plus et je me contenterai de vous placer entre les oreilles ma version préférée (parmi celles que je connais) : celle d'Alfredo Gutierrez et ses accordéons dorés déjà évoqué sur ce blog, ainsi qu'une extraordinaire version mexicaine avec mariachi, claviers à tomber raide et cordes à l'avenant. Le nom du groupe : Mariachi Blanco y Negro, mais là encore je n'ai rien de plus à vous mettre sous la dent (si quelqu'un en sait plus, qu'il ne se gêne pas pour nous apprendre des choses - on prévoit des récompenses). Et en prime un "popurri" d'un quart d'heure de cumbia avec l'inoxydable Aniceto Molina qui commence, bien sûr, par la cumbia sampuesana. Cumbia's not dead!
samedi 26 octobre 2013
Les classiques : la cumbia sampuesana
Quand on cherche à obtenir des informations précises sur tel ou tel morceau de cumbia, il y a vite de quoi s'arracher les cheveux. Par exemple, pour un classique d'entre les classiques comme la "Cumbia Sampuesana", je n'ai pas été fichu de trouver vraiment autre chose que le nom de son compositeur : Joaquín Betín. Mais après : où? quand? qui? je ne vous en dirai pas plus et je me contenterai de vous placer entre les oreilles ma version préférée (parmi celles que je connais) : celle d'Alfredo Gutierrez et ses accordéons dorés déjà évoqué sur ce blog, ainsi qu'une extraordinaire version mexicaine avec mariachi, claviers à tomber raide et cordes à l'avenant. Le nom du groupe : Mariachi Blanco y Negro, mais là encore je n'ai rien de plus à vous mettre sous la dent (si quelqu'un en sait plus, qu'il ne se gêne pas pour nous apprendre des choses - on prévoit des récompenses). Et en prime un "popurri" d'un quart d'heure de cumbia avec l'inoxydable Aniceto Molina qui commence, bien sûr, par la cumbia sampuesana. Cumbia's not dead!
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