Un siècle plus tard, fleurissent les adaptations munies de paroles en allemand, en français, etc. Tino Rossi livre une version suivant le motif troubadour des chansons d'aube. "L'ombre s'enfuit. Adieu Beaux rêves..."
Tino Rossi "Tristesse" (1939)
Non moins sentimental, l'uruguayen Edgardo Donato en donne, lui, une saisissante version tango.
Edgardo Donato "La Melodia del Corazon" (1940)
N'oublions pas la version des Quatre barbus qui opèrent un retournement digne des Poésies de Lautréamont (Montevideo quant tu nous tiens!) et transforment, avec le concours de Pierre Dac, la tristesse en chant d'allégresse.
Les Quatre Barbus "Chant d'allégresse" (1960)
"Les hommes sandwich ne se mangent plus entre eux"
Et c'est enfin au tour improbable de Link Wray de pendre la mélodie de Chopin au cou de la guitare la plus sauvage d'Amérique (un peu adoucie pour l'occasion).
Link Wray "Golden Strings" (1960)
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