Nous vous avions déjà présenté la grande Warda (ici) et nous y revenons avec un morceau un peu tardif (1992) où les claviers 90's se glissent en douce sous les nappes de violons intemporels sans saboter nullement la puissance des sentiments. L'amour, l'absence, la nostalgie, la présence aussi!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire